L’apiculture « moderne », qui, hier, s’épanouissait dans un milieu fertile et favorable, semble en difficultés pour répondre aux défis d’aujourd’hui. Elle cherche dans son propre paradigme les solutions aux problèmes actuels :
- production (toujours plus en quantités, en offre (miel, gelée royale, propolis, pollen, essaim, reines…)
- mondialisation :
- son lot de possible : croisement génétique, transhumance des essaims, des reines au travers de la planète
- son lot de peste : varroa, frelon, virus, pathogènes…
- modernisation : laminoirs à miel… et à abeilles ! (voir le film : « Des abeilles et de Hommes »)
Les réponses à ces défis sont comme une fuite en avant où l’ABEILLE est comme un objet de labo, une poule en batterie…
- culte de l’abeille sans essaimage
- essaimage,(qui porte bien son nom), « artificiel »
- cire gaufrée que l’abeille boude de plus en plus
- élevage de reines pour en maitriser mieux la génétique
- nourrissement aux sucres qui met la colonie sous « perfusion »
- interventions continuelles, …avec enfumage…, qui stressent la ruche perpétuellement
- traitement aux insecticides comme un verger de pomme
- croisements, hybridation des espèces, pour modéliser une abeille « Idéale »… (Pour qui ?)
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